J’avais posé une question qui a reçu de la part de l’Echevin Smeysters une réponse qui ne peut me satisfaire. Elle insinue que je demande l’accélération du processus d’étude par ignorance des procédures administratives ou par inconscience de la complexité d’une telle ampleur.
C’est précisément au vu de cette complexité qui entraîne des délais dommageablement longs pour notre mobilité que j’ai proposé qu’on étudie évidemment « tout ce qu’il faut » mais pour un objet limité géographiquement à Bordet dans une première phase. Le b ut est d’empêcher que l’ignorance des données sur l’au-delà de Bordet freine l’acheminement d’une étude correcte sur le tronçon dont Schaerbeek et Evere ont un besoin immédiat.
Une deuxième mesure sur laquelle nous devrions pouvoir soutenir est que Schaerbeek prenne MAINTENANT formellement position en faveur de la technique du bouclier et le fasse savoir par lettre à la Région ?
Il s’agit donc de proposition de limitation de l’objet de l’étude et nullement de simplification dangereuse. Faute d’un tel document officiel de Schaerbeek, les personnes en charge de l’étude seraient certainement conduites à mener deux études : d’une part, une étude selon la technique du bouclier et d’autre part, une étude par tranchées ouvertes, et à faire encore des comparaisons qui causent des ralentissements.
Réponse communale :